IL ETAIT UNE FOIS... LES COMMERCES PINOIS...
En partant du centre du bourg place Cathelineau et en descendant la rue Abbé Cantiteau, en allant vers Neuvy vous pouviez trouver…
Un sabotier : Le sabotier « Mérand » dans les années 30-40 (en 2007 il y a sur cet emplacement un petit parking à gauche…
Un Tailleur avec commerce de tissus :
Là, exerçait Monsieur Jean Grimault jusque dans les années 1940. Son commerce se situait dans la maison qui fait l’angle de la rue de l’abbé Cantiteau et de la rue des Artisans, un grand pignon, majoritairement en briques rouges.
Une lingère :
Il y avait aussi une lingère : elle repassait les coiffes, empesait les chemises, les amidonnaient…
Un café :
Avant d’être transporté et de devenir le café de la gare, Monsieur Pierre Rochard tenait enseigne dans cette rue… Les abattoirs : Les abattoirs de chez Monsieur Quesson qui se sont arrêtés dans les années 65 – 70 : abattages de porcs essentiellement…
Une menuiserie :
La menuiserie de Monsieur Jean-Marie Pithon : (ancien magasin du syndicat agricole d’Anjou)…
La sage femme :
Elle résidait dans le bas de la rue, sur la droit en descendant, dans l’angle de la rue qui remonte vers l’église…Elle s’appelait Victorine Musset.
Une charcuterie :
La maison juste au dessus de chez la sage femme, la charcuterie Quesson….
Le dépôt d’un magasin :
Magasin à Monsieur Jean Joyer (dépôt) : il reste aujourd’hui de ce magasin une architecture typique de la région des Mauges….
Une épicerie :
L’ épicerie « Macé Joseph avec Ernestine sa femme »…
Un coiffeur également fabriquant de cercles pour les fûts de bois :
Monsieur BRAUD Joseph : (oncle aux Mesdemoiselles Braud qui tenaient le café près de l’église) Il remplissait la fonction de coiffeur pour les hommes le samedi soir et le dimanche matin et le reste du temps il faisait des cercles pour les fûts en bois. Il coupait les cheveux dans une maison sur votre gauche quand vous descendez la rue de l’abbé Cantiteau…
Une épicerie :
Une épicerie JAMIN Josephine dans la maison où réside Monsieur Paul Rochard en 2006…
Une autre épicerie :
L’enseigne de Madame PITHON Jeanne …
Et le stationnement des voitures n'étaient pas le problème, c'était plutôt le stationnement des chevaux, mais tout était prévu :
D’après de précieux témoignages de Pinois, et notamment de Monsieur L. R.
Comme vous le voyez dans une seule rue du Pin, nous pouvions trouver il n’y pas si longtemps, des commerces nombreux et variés… Une autre époque, ou les moyens de locomotion ne permettaient pas aussi facilement les déplacements… Ce n’est pas si loin et pourtant qui s’en souvient, et qui s’en souviendra dans quelques années… Il est urgent de garder mémoire pour pouvoir transmettre… Vous pouvez bien entendu apporter des précisions à ces témoignages si vous en connaissez - ou des photos - (soit en me contactant par courriel à l’adresse en en-tête, soit dans les commentaires de cet article) : merci d’avance de vos éclairages, compléments, que je ne manquerais pas de faire partager si vous le souhaitez. Je commence par cette rue de l’abbé Cantiteau, route de Neuvy, d’autres routes suivront… Merci d’avance. M.J.
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